Dans ce roman, le romanesque émerge du réel et le réel du romanesque. C’est un bras de fer entre deux visons du monde : l’une épanouie dans la barbarie que régit l’argent pour dominer ; et l’autre, substantielle, démasquant le vivant à vif, palpable, de souffrance et de volupté. Ce bras de fer, nous le subissons à tout moment. Par L’autodafé, terme synonyme d’une exécution publique par le feu de livres ou de personnes jugées hérétiques, l’auteur nous invite en enfer !