Wiarton Willie, imposture ou météorologue incompris? La marmotte et les maux des mots
Wiarton Willie: un professionnel de la météo?
Willie prédit-il vraiment la météo?
L’évolution et la transformation d’une tradition
Willie: un individu, un titre, une marmotte?
«Traduire c’est trahir»
Des marmottes muettes et des humains porte-parole. Les maux des mots
Revenir aux sens
L’errance du cynanthrope: construction discursive d’une nuisance hybride?
Traverser la frontière
«Parler avec» le chien: établir la communication interspécifique
«Parler pour» le chien: prêter sa voix comme indice de l’intersubjectivité?
Déplacer la frontière
Le cynanthrope: une symbiose provocatrice
En territoire hostile: occupation illégitime de l’espace public
Replacer la frontière
Contrôler et punir: le discours du risque
Le cynanthrope: un hybride nuisible?
«Parler avec» le chien, un acte de résistance?
Parole hasardeuse, singularité idiomatique et sémiographie. Déambulations en compagnie de Nellie
Décembre 2017 – Quelque part dans une ruelle montréalaise
Été 2018 – Prélude à la marche
Errances méthodologiques
Été 2018 – Marches urbaines
La parole étrangère
Des rencontres hasardeuses
Fin de la marche et retour chez nous
Découvrir le soi dans la rencontre avec un animal
Du paradigme de l’effet au paradigme de la rencontre: faire place à la communication
Reprendre corps
La communication pathique comme lieu d’une rencontre avec les animaux
S’offrir mutuellement à l’attention de l’autre comme corps expressif
Découvrir le soi dans la rencontre avec un animal
La rencontre comme «moment présent»
L’éprouvé sensible de l’être-en-relation
La rencontre comme libération de ressources associatives
La rencontre comme espace d’indétermination
Conclusion
«On doit suivre et ressembler à un animal pour l’obtenir»: la relation entre les éleveurs peulset leurs bovins en Guinée
Un aperçu théorique sur la coexistence entre les humains et lesanimaux dans l’élevage
Les sociétés pastorales africaines: une anthropologie par les animauxet avec les animaux
La problématique de l’intersubjectivité humain-animal
La communication humain-animal chez les Peuls de Guinée
Les mots du berger pour ses vaches…
…et les mugissements des vaches pour leur berger
L’aspect ésotérique de la communication
L’établissement de la frontière humain-animal, entre engagementet désir de trouver «la bonne distance»
Conclusion
Le baiser de l’impala: petit précis d’énergétique humanimale
Concaténations
Absorptions
Sutures
Potentialisations
Proposition
Commutation
Pourparlers
Quand les ratons laveurs s’en mêlent: agentivité politique et nouvelles possibilités citoyennes dans l’Anthropocène
Les ratons de Toronto, constat d’une situation
«Nature» ou «contre-nature» en ville: ces vies non humaines fleurissantes
Le vivre en ville du raton: une antinature?
Écureuils et situationnisme: urbanisme, politique et citoyenneté autrement
Intra-agir avec les ratons: vers une ontologie intra-active
Ratons, humains, et intra-action
«Habiter le trouble» avec les ratons, méthodes pour une ontopolitique avec les ratons
Extraits de la série des animaux
II. Métamorphoses
L’art pour les animaux. Un bestiaire humanimal
Une question d’adresse
Chanter pour mieux parler
Érotique des connivences
Grognements mystiques
Tuer pour vivre
La (basse) cour
Conjurations
Quand l’humain et l’animal se parlaient: regards et apports de la Grèce antique sur l’unité des vivants et la continuité d’un langage immanent à la Nature
L’homme animal et l’homogénéité de l’animalité: les conditions d’une communication interspécifique
Aux origines du langage «propre de l’homme»: un logos aristotélicien dévoyé
Du logos immanent à la Nature au logos transcendant de la Création : la consécration du langage, dignité de l’homme
Pensée cosmique contre pensée anthropocentrique
Le langage des animaux contre la fatuité de l’homme
Séparer l’homme de l’animal, séparer l’homme de l’homme jugé inférieur: un même geste
Le mot d’ordre et l’ordre des mots chez Platon: l’idée folle de parler avec les animaux
Devenir animal dans le champ littéraire
Repenser l’«anthropo- » en « cène»
L’homme-chèvre entre en scène
Le faucon accidentel
Réécrire le monde
Du point de vue animal. Histoires de partenariats artistiques à l’heure de l’Anthropocène
Quel point de vue?
Endosser l’animal
Singulariser chaque individu
Adopter la vision animale
Renforcer les relativités
Capter les vibrations
Devenir animal et «s’indistinguer»
Transposer, pour penser «avec»
Se déplacer pour se rencontrer
Parler aux animaux… et prêter oreille à leur silence
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