Cinéaste dont l'oeuvre a été, durant quelques années, consacrée aux questions urbaines, l'auteur présente ici des textes qui sont plus des échos, des plaintes, des blessures que des poèmes. Une longue plongée dans la brûlure et la nuit des villes, avec toujours au coeur cette aspiration, cet espoir quotidien qui devrait guider l'âme des cités, dans ce creuset des civilisations qu'elles enrichissent depuis si longtemps.
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- Table
- Elle traverse la rue en courant
- Qui dessinera une ville
- Une ville depuis longtemps
- La ville sectionne la vie
- Souvenezvous quand la ville blessée
- La ville est un rêve inachevé
- Il ne faut pas gamine
- La ville enneigée
- Dans toutes les villes en toutes langue
- Un jeune garçon amoureux des autobus
- Amis des silences les plus lourds
- Ô longs villages en quête de villes
- Elle était de Val d’Or
- Dismoi combien d’amours
- Il a grandi dans le Bronx
- Ô New York que je retrouve fragile
- J’aime un pays qui m’échappe m’éblouit
- Dans Washington en plein midi
- Dans les ghettos de Philadelphie
- On voit encore en Amérique
- Ah ! que le « On » pesait lourd
- Monterrey, j’en conviens
- Vous me dites : Montréal éclate avec l’été
- Quand les querelles des partis
- J’ai dans les yeux un vieux tramway
- Ne faites pas de bruit
- Attention au trou d’homme
- Je ne sais pourquoi à Liverpool
- Si votre amour de Rabat
- Les villes du Sahel
- À Maradi somnole un hôtel
- Dans les vieilles rues de Zanzibar
- À Antananarivo le dimanche
- Dans les vergers de Damas
- À Mumbai sur le trottoir
- Marcher dans Jaipur
- Ils sont imposants les temples
- Femmes de Bangkok qui vendez le plaisir
- Jour et nuit les pachinkos
- Shinjuku estce déjà
- Quand les presses assomment le sol
- Au fond de Mitaka
- Ils ont peur de leur ombre
- On décrète, établit, fixe, élève
- À force de croire que la ville est inépuisable
- Et si la ville
- Le vieux monsieur en haut de l’escalier
- Il existe des villes folles
- Le train qui traverse mes rêves
- Il l’avait bâtie
- Un ami làbas
- De nouveau elle est passée
- Quand le matin gris et froid
- Ô gris faubourgs d’une ville de l’Est
- Il y eut enfin cette ville de légende
- Lentement les rues s’effilochent
- Ô cette faible lueur au creux du doute
- Je l’ai revue après tant d’années
- Ils venaient d’outremer
- Cité de mon cœur
- Non elle ne s’appelait ni Dresden ni Stalingrad
- Une ville vogue aux méandres du temps
- Petit
- Descendant la montagne
- Fuyante en son orgueil délabré
- Encore je l’ai revue
- Il est tard
- À nouveau elle est repassée
- En cette heure où la nuit s’épuise
- La ville est mille fleurs