Ces mémoires sont autobiographiques en ce sens que mes confessions se mêlent à l’histoire de la nation tunisienne. Il s’agit bien entendu d’événements marquants dont j’ai été témoin depuis mon enfance jusqu’à la révolution du 17 décembre /14 janvier 2011. Il y a donc une part de subjectivité dans la relation de ces évènements étant donné qu’ils sont vus et rapportés par la conscience d’un auteur-narrateur.