Dans la mise à jour de la déclaration d’Helsinki, en 2014, l’Organisation mondiale de la santé reconnaissait que les décisions prises par les gouvernements dans tous les secteurs de la vie collective pouvaient avoir une incidence, positive ou négative, sur la santé des individus et des populations. Cette reconnaissance présente un défi de taille pour les organismes de santé publique qui, dans leur devoir de protection et de promotion de la santé, doivent influencer les élus. Comment s’exerce ce rôle d’influence sur les autorités ? Et, surtout, comment mieux le jouer ?